Ce que Tracousellis, Pontikas et Andris ont fait au ministère de la Protection des citoyens

Hier matin, la porte de son bureau Sous-ministre d'État à la protection civileKaterina Papakosta-Sidiropoulou, trois personnalités bien connues dans le domaine de la santé publique. Journalisme automobile grec. Il était le Takis Tracousellis, ο Souris de Paris et le George Andris. Les deux premiers, en qualité de Président et le Vice-président de la nouvelle Association des rédacteurs automobiles et son membre, pour l'affaire avec les accusations portées contre lui menaces, pour signaler qu'il avait fait*

Le vice-ministre, entendu par le des représentants du SGCpour lui parler des incidents menaces contre les membres du SGC et le journaliste George Andris. Les incidents spécifiques, qui sont dirigés contre la vie et la sécurité des journalistes et les membres de leur famille ont été portés à l'attention du vice-ministre, qui a assuré que la La police grecque a déjà été contactée de la question.

Dans le même temps, le vice-ministre a souligné que la Eleftherotypia est l'un des les principaux piliers de la démocratie et est garantie par la Constitution. Les journalistes doivent être libres d'exercer leur droit constitutionnel informer les citoyens et les consommateurs pour qu'ils évitent l'utilisation des éléments suivants les embûches et les pièges. En conclusion, le Secrétaire d'Etat engagé que le Ministère de la Protection du Citoyen fera tout ce qui est possible afin que les citoyens reçoivent des informations objectives, comme il sied à un État membre. État de droit.

Plus tard, une délégation du conseil d'administration de l'ASE s'est rendue à l'hôtel de ville. siège de l'EL.AS. Entre autres discussions, les points suivants ont été convenus actions conjointes d'information du monde pour le la sécurité routière. L'Union doit faire ses preuves très actif et qu'il a beaucoup à offrir !    

*C. Andris a été menacé par un propriétaire de casse automobile, après un rapport qu'il a signé, en Newsauto.grLa Commission européenne a publié un rapport sur les plaintes selon lesquelles les concessionnaires automobiles falsifient les données relatives aux voitures d'occasion, "maquillent" le kilométrage et trompent les acheteurs.



George Andris, de Newsauto.gr, a évoqué en détail les moments difficiles que lui et ses proches ont traversés, en publiant son témoignage auprès des autorités et via Facebook :



"Vers 19h30, mon téléphone portable a sonné et un numéro d'Allemagne est apparu sur l'écran, manifestement en raison du préfixe. En répondant, j'ai compris que quelque chose n'allait pas, car la voix menaçante du numéro qui m'appelait ne laissait aucune place à l'erreur.



L'homme qui m'a parlé en grec m'a informé qu'il était la personne sur laquelle j'écrivais, puis il m'a donné l'adresse de mon domicile et, d'un ton très menaçant, il m'a annoncé qu'il allait venir me montrer ! 



J'ai raccroché le téléphone et, immédiatement après, le même numéro a appelé le téléphone portable de mon enfant mineur pour le menacer à nouveau. 



Je contacte ensuite les rédacteurs de la police qui m'orientent et enfin nous prévenons l'unité de réponse rapide afin que les policiers viennent enregistrer l'incident. En quelques minutes, les policiers sont à mon domicile où j'explique ce qui s'est passé et à ce moment-là, le téléphone fixe de mon domicile sonne. 



Le policier lui suggère de prendre le téléphone et de se faire passer pour moi. Il s'est avéré que le policier s'est fait passer pour moi et qu'il a reçu de terrifiantes menaces d'attenter à la vie de toute ma famille. 



Le policier, après l'avoir écouté, a révélé sa véritable identité et, de l'autre côté de la ligne téléphonique, les menaces étaient également dirigées vers le policier ! 



L'agent de police a immédiatement prévenu le centre où il a reçu des instructions sur ce qu'il fallait faire car l'inconnu, muni d'un téléphone visible d'où il nous appelait, menaçait non seulement ma famille mais aussi les agents de police qui s'étaient rendus à mon domicile. 



Cela a été suivi au poste de police où une plainte a été déposée par moi-même et par l'officier de police car les menaces s'étendaient maintenant dans toutes les directions. 



Il appartient maintenant au Procureur de la République de mettre fin aux lâches menaces qui visent d'abord des enfants mineurs, puis des journalistes professionnels et des policiers...".